Chat : Rendez-vous le 28 Juin

Il y a des mois que je n’avais pas bénéficié de sa fonctionnalité, il était temps de reprendre les choses en main ! Vous qui me suivez savez que j’attache toujours une importante particulière à rester proche de mes lecteurs et en ce sens, je suis heureux de vous convier à une heure de discussion tous ensemble très prochainement.

Je répondrai donc sous peu à toutes vos questions (ou presque) sur le module Chat du blog (situé ici), et vous donne rendez-vous ce Dimanche 28 Juin, de 19h00 à 20h00 (heure française). Juste avant le journal de 20 heures : elle est pas belle la vie ?

Ushuaïa : le film

Ca commençait à faire un sacré moment que je n’avais pas monté de vidéos et à vrai dire, et on peut dire que ça m’avait manqué. Aujourd’hui, on rattrape le temps perdu avec 6 minutes de film direction le bout du monde, la fantastique Ushuaïa en Argentine.

Avec le magnifique cadeau que vous m’avez offert, nous voilà reparti sur de bonnes bases et voici aujourd’hui pour vous un petit aperçu de mon séjour dans l’endroit presque le plus austral au monde (à Ushuaïa, on base plus ou moins l’ensemble du commerce sur le concept « fin du monde », mais l’endroit le plus austral de notre planète est en fait la station scientifique Verdnasky en Antartique).

Mon parcours sur une semaine

Que recommander à Ushuaïa ? Avant de vous donner quelques tuyaux, place à la vidéo…

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Les rues de São Paulo

São Paulo…ou ma première destination au Brésil. Petit retour en arrière. A peine deux heures avant de prendre mon avion pour le pays de la Samba, je suis braqué aux abords de l’aéroport de Lima. Sous le choc et à mon arrivée à l’aéroport, je passe deux appels en France.

Que faire ? Je suis dépité mais je me résonne. Prendre mon avion pour le Brésil dans un premier temps, essayer de me calmer.

Je reviens de Cusco, n’ai que très peu dormi durant ces 21 heures de trajet, mais comment voulez trouver le sommeil après un tel épisode ?

 


São Paulo
 

A bout de forces, je parviens à récupérer une heure et demie. Lorsque j’ouvre les yeux, nous survolons la gigantesque métropole de São Paulo. Nous avons également perdu 3 heures au niveau de l’heure et le soleil m’offre un beau ciel bleu pour l’arrivée…

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Merci…

Et à vrai dire, je ne sais que sortir de ma bouche si ce n’est un grand « merci« . Suite à la collecte de fond lancée il y a une dizaine de jours, l’heure est au bilan…

Et quel bilan…! Vous avez été 51 à m’aider dans le rachat de mon matériel.  Vous avez été plus d’une cinquantaine à m’offrir une nouvelle caméra, un nouvel appareil photo. Grâce à votre générosité, j’ai récolté la somme colossale de 1150 euros, soit un don moyen de 22 euros par contributeur…

Jamais je n’aurai imaginé lever une telle somme. C’est incroyable, bluffant, sur-motivant.

Dieu ne vous le rendra peut-être pas, mais je m’y engage, d’une façon ou d’une autre. Je n’oublierai aucun d’entre vous qui avez mis la main au portefeuille pour m’aider à poursuivre cette aventure en images.

Les prochains mois seront pour moi l’occasion de mûrir la façon de vous remercier, même si j’ai déjà ma petite idée…Vous m’avez fait une belle surprise, j’en ferai de même.

Alors merci pour votre aide et votre confiance…

Merci à Jeanne, Corinne, Edouard, Pierre, Isabelle, Nicolas, Ivan (si vous recrutez, Ivan est une perle !), Delphine, Mathieu, Laetitia, Jacques, Thomas, Grégory, Aurélie, Julien, Jean-Marie…

Merci également à Pierre-Etienne, Denis, Vanessa, Delphine (une autre), Richard, Laurent, Nadine, Laura, Joseph (ou Rade pour les intimes), Laurence, Jacques (encore un), Benjamin, Alice, Catheline, Audrey, Guillaume, Thomas (un de plus), Maxime, Julien

Enfin, merci à Céline, Thomas (décidément, ce prénom est à la mode !), Fabien, Maï-Ly, Claire, Lise, Marie, Frédéric, Guillaume (le deuxième), Alice (la deuxième), Elodie, Tanja, Sébastien, Grégory (vous étiez deux), Nicolas (vous aussi), Hélène…

Et puisque l’heure est aux remerciements, je remercie également ma banque, le Crédit Lyonnais, et tout particulièrement ma conseillère Isabelle R. (qui d’ailleurs suit ce blog !) pour son dynamisme au quotidien (et dernièrement dans la gestion de l’importante fraude bancaire dont j’ai été victime). Je suis en ce moment au bout du monde, à Ushuaia en Argentine, et croyez moi, je vous prépare une vidéo à la hauteur de votre générosité.

Alors, du fond du coeur, merci, merci, MERCI.

Désillusions journalistiques

En attendant de reprendre la route avec notamment le Brésil (prochaine destination avant l’Argentine), place à un petit billet d’humeur.

Depuis mon départ, j’ai eu le privilège d’être contacté par différents médias, chacune de ces approches s’étant soldées par de contrariantes désillusions.

Dans un premier temps, le magazine Phosphore, qui préparait alors un « gros dossier de 10 pages » sur le voyage, me contacte au mois de Mars. Après un échange de mail, une journaliste m’envoie un questionnaire assez vaste. Questionnaire auquel je m’engage à répondre dans un cours délai. Mon temps est compté, mais je passerai malgré tout plusieurs heures à répondre très précisément à cette longue interview. Lorsque je renvoie un mail quelques jours plus tard en annonçant que je suis actuellement sur le point de finir les questions, je reçois une réponse me signifiant qu' » il n’est plus temps, hélas« . Du temps perdu, tout simplement, déception à la clé.

Un mois plus tard, je suis contacté cette fois çi par un journaliste d’M6, qui lui prépare un sujet pour l’émission Capital. Après un entretien téléphonique lorsque je me trouvais en Colombie, les choses sont mises au clair :  l’idée est alors pour l’équipe de Capital de partir me rejoindre en Amérique du Sud pour tourner la partie « action » du reportage (à propos de mon projet). j’attends le retour par mail du journaliste en question qui dois me confirmer et c’est chose faite : M6 me « confirme donc la réalisation du reportage » ! Me voilà donc à observer avec attention mon agenda pour que cette rencontre s’effectue dans les meilleures auspices. Suite à cet email et à près de 15 jours de silence, je relance M6 pour fixer les dates. Hélas, on me répond que « M6 a été très long à réagir« , et que le sujet a été perçu par la rédaction comme plus destiné à Zone Interdite. D’ou l’annulation du reportage.

Un problème de communication qui a mis à l’aise le journaliste autant que moi (j’avais dis à un comité restreint de mes amis que c’était confirmé). Ce n’est vraiment pas grave en soit, mais j’avoue être assez à cheval sur ce genre de principes : quand on confirme, on confirme, non ?

Je ne veux pas faire de mauvaise pub ni jeter des pierres à ces deux entités que j’apprécie fortement. J’ai été abonné il y a quelques années en arrière à Phosphore et j’ai toujours suivi assidument Capital dès que cela m’était possible (et je continue de le faire d’ailleurs). Je voudrais cependant recentrer le débat sur la crédibilité à accorder au métier de journaliste au sens large du terme. Loin de moi l’idée de généraliser, et après tout, je ne suis pas en quête de célébrité, mon lectorat (vous !) étant déjà une source de satisfaction énorme. Mais quand même, pour le principe !

Dernière petite chose, et hasard du calendrier : au moment ou je publie ces lignes, je reçois un questionnaire pour un autre magazine. Alors, info ou intox ? Les paris sont ouverts !

Cuzco et le Machupicchu – Partie 2

-Suite et fin de la partie 1 de mes aventures au Machupicchu

Une merveille à toujours un coût, et l’entrée sur au Machupicchu allégera votre portefeuille de 120 soles (soit 30 euros, extrêmement cher pour le pays).Si vous êtes étudiants, n’oubliez pas votre carte, car la remise accordée est considérable (moitié prix soit 60 soles). Attention cependant : si certains guides vous précisent que l’on peut payer en dollars, ce n’est pas le cas pour l’entrée au Machupicchu. Munissez vous donc de soles (la monnaie locale).

L’entrée au Machupicchu s’effectue en passant un modeste point de contrôle, suivi d’un étroit couloir vous menant au tout début des ruines de la citée. Dès votre entrée dans le sanctuaire, c’est le monde entier que vous vous apprêtez à croiser sur votre chemin…

Car en effet, si j’ai eu la chance de visiter un certain nombre de monuments très connus dans le monde entier, je crois ne jamais avoir fait parti d’un melting pot aussi impressionnant (sauf peut-être aux alentours de la Tour Eiffel à Paris). Un nombre déliant de langues résonnent là ou , il y a environ 600 ans en arrière (les historiens pensent que la ville a été construite aux alentours de 1440), l’empereur inca Pachacutec et les membres de sa Panaca auraient élu résidence (entre 300 et 1000 personnes approximativement semblaient vivre sur place)…

(La suite …)